Avis Prozac (Fluoxetine)

J’ai un trouble dépressif majeur, un SSPT et une tonne d’anxiété. J’ai pris des analgésiques toute ma vie. Malheureusement, je dois maintenant ajouter Prozac à la liste. Eh bien, tant que ça m’éloigne de certaines pensées, je peux vivre avec ça. Je suis ainsi capable de travailler, même si je ressens un manque de concentration quand j’y suis.

Ce médicament n’a pas eu d’effet immédiat sur moi. Je souffre de stress post-traumatique et j’ai du mal à dormir. J’ai failli arrêter les médicaments après plusieurs jours, mais mon docteur m’a conseillé d’y rester un peu plus longtemps. Cela me rend juste fatigué et étourdi. Je suppose que cela m’aide un peu à me calmer, mais pas autant que je m’y attendais.

Prozac m’a aidé à me débarrasser de la dépression en seulement 2 semaines. Au départ, on m’avait prescrit une cure de 3 mois, mais j’ai choisi d’arrêter plus tôt. C’était un peu cher, en plus je me sens beaucoup mieux.

Je ne me suis jamais permis de penser que la dépression était un véritable trouble médical. Je pensais que c’était surtout une question de publicité et de profit. Mais la situation s’est produite dans ma vie, alors que ma santé était en jeu. Les antidépresseurs ont joué le rôle déterminant dans mon rétablissement, et je suis heureux que j’aie changé d’avis, sinon je ne m’en sortirais tout simplement pas. J’ai pris Prozac chaque jour suite à une chirurgie de reconstruction faciale.

J’ai eu des angoisses légères toute ma vie. Récemment, ma nervosité a explosé! Ce que je pensais être un changement positif s’est avéré être une toute nouvelle charge de responsabilités. Il n’a fallu qu’une semaine avant que je perde toute mon inspiration. Cette opportunité d’emploi, que j’attendais tant, m’épuisait. Les gens qui m’ont embauché sont passés d’éloges à des sourires narquois, et ce fut un coup de grâce pour moi. Il y avait beaucoup de choses en jeu, et cela m’a presque achevé. Je n’ai jamais utilisé de médicaments psychoactifs auparavant et j’espérais en quelque sorte rester à l’écart. Cette fois, cependant, j’ai dû ramper hors du trou, et c’est Prozac qui m’a aidé.